Grâce à ses nombreux atouts, le cabinet Gevers & Orès a maintenu ses positions pendant l’année écoulée alors que les titulaires de droits étaient confrontés à de nouveaux enjeux en matière de propriété intellectuelle. Pour cela, ses experts se sont mobilisés pour accompagner leurs clients, qu’il s’agisse de ceux qui ont dû se réinventer face à la crise comme de ceux dont l’activité a été tirée vers le haut par les difficultés sanitaires et l’évolution de nos modes de vie.
Les applications de traçage numérique qui ont vu le jour dans divers pays européens avec la pandémie de Covid-19 ont pour objectif d’aider à l’identification des cas contacts d’une personne contaminée. Au-delà des questions éthiques et juridiques posées par ces applications, le recours à la technologie pour freiner la pandémie a mis en évidence les problématiques posées par l’utilisation de technologies non européennes dans le domaine de la santé.
En matière de contrefaçon de brevet, le Code de la propriété intellectuelle autorise le juge à indemniser le titulaire du brevet sur la base d’un montant de redevance supérieur au montant qui aurait été dû si le contrefacteur avait obtenu une autorisation d’exploitation licite.
Depuis quelques années, l’intelligence artificielle a fait un bon avec le déploiement massif des réseaux de neurones multicouches dans un large spectre d’applications industrielles. Sylvain Chaffraix, Ingénieur en informatique logicielle et responsable de l’activité NTIC de Novagraaf en France s’est intéressé dès les années 90 à l’intelligence artificielle et aux réseaux de neurones encore balbutiants, avant de mettre ses connaissances au service de la propriété industrielle.
Les défis qu’impose à nos sociétés la pandémie de Covid-19 les obligent à se livrer à une course aux solutions, pour surmonter la crise sanitaire, mais également déjouer un effondrement de nos économies. D’où peut alors venir le salut pour envisager un monde différent ? Comment se financent les entreprises qui s’y emploient ?
Le chiffre d’affaires de ce fournisseur de l’industrie biopharmaceutique a bondi de 34,6% en 2020, à 1,9 milliard d’euros. La crise sanitaire lui a permis d’augmenter significativement ses ventes de produits servant à la fabrication de vaccins et de médicaments. Retour sur les clés du succès de cette star de la santé.
Humaniser la technologie n’a jamais été aussi urgent. Le prêtre dominicain Éric Salobir, fondateur et président du réseau Optic Technology, nous explique pourquoi c’est un enjeu stratégique pour les entrepreneurs de la tech.