INFLUENCEUR. Figure emblématique de l’entrepreneuriat français, Marie Georges signe aux côtés de Pierre Gattaz, 60 idées pour Emmanuel Macron, un recueil de propositions issues de la société civile pour « bousculer le statu quo dans lequel notre pays n’a plus le droit de s’enliser.»
En annonçant à la fin de l’été son soutien à Laurent Wauquiez pour la présidence des Républicains, Virginie Calmels, fidèle d’Alain Juppé et première adjointe à la mairie de Bordeaux connue pour ses prises de positions libérales, a surpris la sphère médiatico-politique.
Tandis que certains chez Les Républicains considèrent qu’il a trahi son parti d’origine, Thierry Solère, l’un des chefs de file du groupe Les Constructifs proche de la majorité présidentielle, souhaite contribuer à l’élaboration des « bonnes réformes » pour le pays.
PORTRAIT. Par ses prises de positions radicales, le grand favori pour remporter la présidence des Républicains en décembre prochain espère incarner la première force d’opposition à la politique centriste d’Emmanuel Macron, quitte à rompre avec l’aile la plus modérée de son parti. Portrait d’un conquérant.
Revendiquant une candidature plus rassembleuse que celle de Laurent Wauquiez à la présidence des Républicains, Daniel Fasquelle espère tirer son épingle du jeu à l’occasion du vote prévu en décembre.
Engagée auprès d’Emmanuel Macron depuis 2014, Astrid Panosyan, directrice générale d’Unibail-Rodamco et membre fondatrice de la République en marche, orchestre notamment l’élection de la direction définitive du parti qui aura lieu au courant de l’automne.
Conscient que LREM ne sortira pas majoritaire des élections sénatoriales de la fin du mois de septembre, François Patriat, ex-socialiste, devenu chef de file des « marcheurs » de la chambre haute, espère que le parti présidentiel remportera un maximum de sièges.