Formée il y a quatre ans, l’association de quatre jeunes avocats complémentaires et performants, Julien Rivet, Christophe Nevouet, Julien Berthezène et Fabien Masson, impose déjà son modèle.
La locomotive Berthezène Nevouet Rivet est lancée
Berthezène Nevouet Rivet est un cabinet d’avocats tourné vers les affaires. Son business plan initial, ambitieux, est rempli voire dépassé : le cabinet est passé de deux à six avocats – quatre associés et deux collaborateurs – en quelques mois et devrait se renforcer prochainement. Conscients de la croissance importante de leur structure et de la renommée qui l’accompagne, les associés pensent déjà à transformer le nom du cabinet en BNR. La boutique a pris de plus en plus de poids sur le marché. Rien d’étonnant, avec une équipe qui vise haut : «?Nous voulons créer une identité forte et entretenir une logique de marque?», confie Christophe Nevouet.
Entre tradition et modernité
La valeur ajoutée de Berthezène Nevouet Rivet réside dans un mélange équilibré entre l’exercice traditionnel du métier et l’utilisation des outils modernes de travail, notamment informatiques. À ce titre, les associés ont notamment pris l’engagement de bientôt faire certifier la structure par la norme ISO 9001. Formés dans les meilleurs cabinets français et étrangers, les quatre associés gardent en tête les valeurs fondamentales de leur métier : l’indépendance, au cœur de leur exercice professionnel, est suivie de la proximité avec le client et la culture du contentieux.
«?On plaide le dossier, pas les conclusions?», insistent-ils. Par ailleurs, l’équipe est très active en matière de pro bono. Julien Rivet est un membre fondateur de l’association Justice pour le Cambodge, qui permet aux victimes de rencontrer des avocats. Le cabinet sponsorise une avocate sur place, en qualité de soutien.
Une boutique corporate pluridisciplinaire
Le cabinet, construit par étapes successives, est né sur des bases solides. Avant de poser leur plaque, Julien Rivet et Christophe Nevouet n’ont cessé d’échanger sur différents dossiers. En effet, après leur expérience commune chez Ginestié Paley-Vincent, le premier a dirigé le département contentieux du cabinet Hughes Hubbard & Reed, et le second, qui intervient en droit social et droit pénal du travail, a exercé chez CMS Bureau Francis Lefebvre puis Hoche Société d’Avocats. Forts de cette complicité, ils décident, dès novembre 2007, de s’associer pour approfondir la proximité avec leurs clients en ciblant particulièrement les PME.
Ils ouvrent leur cabinet en décembre 2007 et, très vite, cherchent à s’étendre au corporate. Grâce à l’intermédiaire d’une amie avocate chez Bredin Prat, ils rencontrent alors Julien Berthezène. Ses dix ans d’expérience aux côtés de grands noms, Dominique Borde et Olivier Puech notamment, et son profil international leur apportent une expertise en droit des sociétés, M&A et droit boursier. Berthezène Nevouet Rivet développe ainsi une clientèle étrangère en matière de maîtrise d’œuvre pour des investissements français en direction d’Europe de l’Est, du Royaume-Uni, et de plus en plus du Brésil et des États-Unis.
L’activité M&A devient rapidement un vrai levier d’activité. Le contentieux et le droit social se développent grâce aux dossiers corporate et réciproquement les opérations financières se concrétisent grâce à des practices solides en appui. Le cabinet repose alors sur trois piliers de practices, assez solides pour durer, assez éloignés pour garder leur indépendance.
Anticiper
Très tôt, les associés s’attachent à anticiper leurs besoins et à maîtriser leurs phases de développement. C’est la raison pour laquelle au début de l’année 2011, le cabinet accueille un nouvel associé au profil très éclectique : Fabien Masson.
Au cours des dix-huit mois passés au département contentieux de Gide Loyrette Nouel, ce dernier fait partie d’une équipe de défense devant le Tribunal pénal international de La Haye. Chez Farthouat Asselineau & Associés à partir de 2003, il développe sa clientèle, se spécialise en droit de la responsabilité civile et professionnelle et accompagne les gros cabinets, puis développe sa pratique du droit social, notamment contentieuse.
Leur association fonctionne efficacement, d’une part parce que les professionnels ont des clientèles semblables et, d’autre part, parce qu’ils parviennent à doser savamment leurs compétences jusqu’à devenir force de propositions : «?Nous voulons être une locomotive pour nos clients, les tirer toujours plus haut?», expliquent les associés. Une entreprise d’autant mieux réussie que leur cabinet assure l’équilibre entre leur exercice professionnel et leur vie privée.
Entre tradition et modernité
La valeur ajoutée de Berthezène Nevouet Rivet réside dans un mélange équilibré entre l’exercice traditionnel du métier et l’utilisation des outils modernes de travail, notamment informatiques. À ce titre, les associés ont notamment pris l’engagement de bientôt faire certifier la structure par la norme ISO 9001. Formés dans les meilleurs cabinets français et étrangers, les quatre associés gardent en tête les valeurs fondamentales de leur métier : l’indépendance, au cœur de leur exercice professionnel, est suivie de la proximité avec le client et la culture du contentieux.
«?On plaide le dossier, pas les conclusions?», insistent-ils. Par ailleurs, l’équipe est très active en matière de pro bono. Julien Rivet est un membre fondateur de l’association Justice pour le Cambodge, qui permet aux victimes de rencontrer des avocats. Le cabinet sponsorise une avocate sur place, en qualité de soutien.
Une boutique corporate pluridisciplinaire
Le cabinet, construit par étapes successives, est né sur des bases solides. Avant de poser leur plaque, Julien Rivet et Christophe Nevouet n’ont cessé d’échanger sur différents dossiers. En effet, après leur expérience commune chez Ginestié Paley-Vincent, le premier a dirigé le département contentieux du cabinet Hughes Hubbard & Reed, et le second, qui intervient en droit social et droit pénal du travail, a exercé chez CMS Bureau Francis Lefebvre puis Hoche Société d’Avocats. Forts de cette complicité, ils décident, dès novembre 2007, de s’associer pour approfondir la proximité avec leurs clients en ciblant particulièrement les PME.
Ils ouvrent leur cabinet en décembre 2007 et, très vite, cherchent à s’étendre au corporate. Grâce à l’intermédiaire d’une amie avocate chez Bredin Prat, ils rencontrent alors Julien Berthezène. Ses dix ans d’expérience aux côtés de grands noms, Dominique Borde et Olivier Puech notamment, et son profil international leur apportent une expertise en droit des sociétés, M&A et droit boursier. Berthezène Nevouet Rivet développe ainsi une clientèle étrangère en matière de maîtrise d’œuvre pour des investissements français en direction d’Europe de l’Est, du Royaume-Uni, et de plus en plus du Brésil et des États-Unis.
L’activité M&A devient rapidement un vrai levier d’activité. Le contentieux et le droit social se développent grâce aux dossiers corporate et réciproquement les opérations financières se concrétisent grâce à des practices solides en appui. Le cabinet repose alors sur trois piliers de practices, assez solides pour durer, assez éloignés pour garder leur indépendance.
Anticiper
Très tôt, les associés s’attachent à anticiper leurs besoins et à maîtriser leurs phases de développement. C’est la raison pour laquelle au début de l’année 2011, le cabinet accueille un nouvel associé au profil très éclectique : Fabien Masson.
Au cours des dix-huit mois passés au département contentieux de Gide Loyrette Nouel, ce dernier fait partie d’une équipe de défense devant le Tribunal pénal international de La Haye. Chez Farthouat Asselineau & Associés à partir de 2003, il développe sa clientèle, se spécialise en droit de la responsabilité civile et professionnelle et accompagne les gros cabinets, puis développe sa pratique du droit social, notamment contentieuse.
Leur association fonctionne efficacement, d’une part parce que les professionnels ont des clientèles semblables et, d’autre part, parce qu’ils parviennent à doser savamment leurs compétences jusqu’à devenir force de propositions : «?Nous voulons être une locomotive pour nos clients, les tirer toujours plus haut?», expliquent les associés. Une entreprise d’autant mieux réussie que leur cabinet assure l’équilibre entre leur exercice professionnel et leur vie privée.