L’entrée dans le droit commun de la télésurveillance médicale, prévue au 1er juillet 2023, appelle à un regard critique sur les dispositifs médicaux connectés et autres applications de santé. Marguerite Cazeneuve, directrice adjointe de la Caisse nationale de l’assurance maladie présente les nouveaux cadres d’évaluation du numérique en santé.  

La communication digitale est devenue un incontournable pour tous les acteurs du secteur de la santé : industriels, professionnels de santé, établissements de santé, confondus. Chacun y va de son post, like, #hashtag… Peut-on parler d’évolution ou de révolution dans ce domaine depuis la remise en cause par l’UE de l’interdiction générale et absolue de la publicité pour les professionnels de santé appliquée en France ? Assouplissement paraît le terme le plus approprié : les règles sont encore nombreuses et méritent d’être rappelées.

Rattachée au ministère de la Santé et de la Prévention, l’Organisation de la direction générale de l’offre de soins conçoit et pilote les politiques publiques relatives aux soins de santé. Afin de forger un parcours patient aussi efficace qu’innovant, Cécile Lambert, cheffe de service de la DGOS, décrit notamment l’apport du digital et de la sensibilisation aux nouveaux usages.

Symbole de tous les possibles, la blockchain inspire autant qu’elle déchire et ne laisse pas indifférent. Dernièrement, la filiale du groupe EDF Exaion, spécialisée dans le Web3, sortait la solution Exaion Node afin d’offrir aux entreprises une plateforme de gestion d’infrastructures blockchain pour leurs projets dédiés.

Le secteur sanitaire et médico-social a toujours été un secteur à fortes contractions et dépendant de nombreuses réglementations. Le pilotage institutionnel et réglementaire, l’actualité de ces secteurs et la forte pression de la financiarisation, qui s’y est invitée, imposent à chaque opérateur de spécifier sa stratégie et son fonctionnement courant. Dès lors comment se démarquer ? Comment s’imposer dans l’offre de soins ? Comment maintenir son positionnement ?

Si les maladies rares gagnent en visibilité, l’accès aux traitements pour les patients n’est pas une garantie. Recordati Rare Diseases, branche dédiée aux maladies rares du groupe pharmaceutique italien Recordati, participe à l’effort collectif par le biais de la recherche, du développement et de la commercialisation de médicaments orphelins. Jean-Claude Roche, son directeur général en France, détaille les plans d’actions et les collaborations qui permettront, selon lui, d’accélérer l’émulation en la matière.

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