Jean-Georges Betto, Christophe Seraglini, Gaëlle Le Quillec et Thierry Tomasi associent leurs expertises en contentieux/arbitrage national et international.
Quatre associés, quatre collaborateurs et une pratique hautement qualifiée : l’arbitrage international et les contentieux complexes. Le projet est ambitieux, les moyens conséquents (magnifiques bureaux avenue Hoche) et le capital humain talentueux.
Jean-Georges Betto a fondé la practice arbitrage international de Hogan Lovells, après avoir participé au développement de l’arbitrage chez Derains & Associés. Précédemment, il exerce chez Gide Loyrette Nouel durant neuf ans. Expert reconnu dans le secteur de la défense, il vient d'obtenir une victoire pour DCNS dans le sensible dossier des frégates de Taïwan. Autres secteurs de prédilection : l’aéronautique, la construction, l’énergie et la réassurance. À ses côtés, l'un des grands professeurs du droit de l'arbitrage, Christophe Seraglini, venu de White & Case et également professeur à l’université Paris XI et à la Sorbonne. En appui, deux rising stars : Gaëlle Le Quillec et Thierry Tomasi. La première, huit ans de barreau, à Paris et New York, a exercé chez Cleary Gottlieb et Hogan Lovells. Elle intervient en contentieux commercial et post-acquisition ainsi qu’en arbitrage international. Thierry Tomasi, ex-counsel chez STC Partners, est particulièrement reconnu en arbitrage et contentieux dans les secteurs de l’aéronautique, du transport et des services financiers. Les avocats de Betto Seraglini travaillent en français, anglais, italien, brésilien et espagnol.
L'un des meilleurs cabinets de barristers anglais, Quadrant, a saisi l'occasion de tisser une alliance avec Betto Seraglini. Ce dernier affirme son identité par trois credo : aucune affaire acceptée contre des clients présents ou passés, formation gratuite des clients à l'arbitrage et aux procédures judiciaires et facturation moderne (les forfaits et success fees sont acceptés). Soucieux de qualité, le modus operandi rappelle celui de Bredin Prat : un associé, un collaborateur. « Le travail doit rester l'œuvre d'associés secondés, et non celui de collaborateurs supervisés », explique Jean-Georges Betto.
Les créations de cabinets sont nombreuses, mais aucune boutique en contentieux/arbitrage ne présente le positionnement et le sérieux technique de Betto Seraglini. Une firme à suivre, qui va bouger les lignes du marché de l’arbitrage international.

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