Le positionnement d’Hascoët & Associés en droit des obligations, assurances, risques industriels et garanties bancaires et financières lui assure succès et indépendance depuis plus de trente ans.
Hascoët & Associés, pour l’amour du risque
Fondé en 1982 par François Hascoët, le cabinet débute une activité sur des bases solides attirant très vite des grands noms de l’assurance : le Groupe Drouot (futur Axa), la Generali ou le groupe Allianz comptent parmi les premiers clients du cabinet et le resteront. «?Ce qui caractérise notre cabinet, explique l’associé fondateur, c’est la fidélité, tant de ses clients que des avocats qui y exercent.?» Alexandra Cohen-Jonathan par exemple, qui s’est spécialisée en droit des assurances et contentieux/arbitrage, est présente aux côtés de François Hascoët depuis 1994. C’est grâce à cela que le cabinet connaît une telle renommée aujourd’hui : sa fidélité lui a ouvert un champ considérable d’interventions.
Le risque, tous les risques
Grâce à l’accompagnement de grandes compagnies d’assurance, Hascoët & Associés s’ouvre des horizons nouveaux. Un accès direct lui est donné au monde du grand courtage, et, par l’intermédiaire de ces courtiers, à celui des institutions bancaires et financières. Le droit bancaire étudié du côté des garanties devient un métier à proprement parler du cabinet. François Hascoët trouve un relais naturel en la personne de François-Genêt Kiener, qui a développé, en plus du droit des assurances et des sociétés, une importante activité en droit bancaire et boursier. Par analogie, Hascoët & Associés se tourne vers l’ensemble des professions du risque, cette notion devenant le cœur de son expertise, comme aux côtés des professions libérales pour leurs dossiers de responsabilité civile professionnelle. Le risque entre également au cœur des procédures d’arbitrage et de compliance, comme aux côtés d’Indosuez avant sa disparition. La connaissance du risque industriel et de la construction en fait un vrai cabinet de contentieux qui touche jusqu’aux industriels et investisseurs pour les garanties de leurs produits de couverture. En Nouvelle-Calédonie, par exemple, les contrats doivent assurer la stabilité des comptes d’exploitation d’un de ses clients du fait de la volatilité des cours des matières premières. Le cabinet est à présent sollicité par de grands groupes pour l’évaluation du risque lié à leurs activités, comme Ubifrance qui a requis les services de l’équipe d’Alexandra Cohen-Jonathan pour un audit complet de ses garanties, l’amélioration de la couverture monde de ses sociétés situées en France et la réduction de ses primes d’assurance. Le cabinet a même mis en place un vade-mecum de la maîtrise du risque pour l’ensemble de ses salariés. Maîtrisant parfaitement le marché des courtiers en assurance, en produits financiers et plus généralement de l’ensemble des professions réglementées, Hascoët & Associés est devenu un véritable intermédiaire pour ses clients.«?La croissance du cabinet a suivi l’effet boule de neige que prenaient les chaînes d’acteurs du monde du risque. Nous sommes plus occupés à fournir une prestation qu’à prospecter?», se réjouit François Hascoët.
L’amour des faits
L’équipe, c’est aussi celle que le cabinet a constituée avec ses clients. Afin d’en assurer la cohésion et de ne jamais porter préjudice aux personnes qui comptent sur lui, le cabinet a fait le choix de ne pas s’investir dans une activité de doctrine qui aurait pourtant pu lui apporter une rapide notoriété auprès des tribunaux et universitaires. «?Défendre une position dans les supports juridiques spécialisés fait prendre le risque indéniable à son auteur d’être décrié au cours d’une audience où l’intérêt de son client veut qu’il soutienne la thèse inverse de la sienne?», explique François Hascoët, qui, par expérience, en vient même à gérer le risque au sein de sa propre structure.
Le risque international
La solidité de ses expertises permet au cabinet de s’ouvrir encore sur de nouveaux métiers comme le droit du transport. Matière abordée il y a déjà longtemps – l’équipe était par exemple le conseil des assureurs du système TIR, qui garantit le paiement des amendes douanières –, elle devrait prendre de l’ampleur, notamment sous l’angle du transport terrestre en Afrique. Hascoët & Associés a déjà mis un pied sur le continent à travers les contrats de couverture pour des sociétés d’exploitation d’énergie. Plus généralement, les associés réfléchissent à la meilleure façon d’être présents aux côtés de clients s’internationalisant de plus en plus. La constitution d’un GIE avec des cabinets italiens et allemands est examinée tout en conservant l’indépendance de la structure : «?Être démarché par des grands cabinets a le mérite de confirmer la justesse de notre positionnement?», ironise François Hascoët, qui n’a jamais douté de sa stratégie, validée dans les faits par une croissance constante du chiffre d’affaires.
Pascale D'Amore
Le risque, tous les risques
Grâce à l’accompagnement de grandes compagnies d’assurance, Hascoët & Associés s’ouvre des horizons nouveaux. Un accès direct lui est donné au monde du grand courtage, et, par l’intermédiaire de ces courtiers, à celui des institutions bancaires et financières. Le droit bancaire étudié du côté des garanties devient un métier à proprement parler du cabinet. François Hascoët trouve un relais naturel en la personne de François-Genêt Kiener, qui a développé, en plus du droit des assurances et des sociétés, une importante activité en droit bancaire et boursier. Par analogie, Hascoët & Associés se tourne vers l’ensemble des professions du risque, cette notion devenant le cœur de son expertise, comme aux côtés des professions libérales pour leurs dossiers de responsabilité civile professionnelle. Le risque entre également au cœur des procédures d’arbitrage et de compliance, comme aux côtés d’Indosuez avant sa disparition. La connaissance du risque industriel et de la construction en fait un vrai cabinet de contentieux qui touche jusqu’aux industriels et investisseurs pour les garanties de leurs produits de couverture. En Nouvelle-Calédonie, par exemple, les contrats doivent assurer la stabilité des comptes d’exploitation d’un de ses clients du fait de la volatilité des cours des matières premières. Le cabinet est à présent sollicité par de grands groupes pour l’évaluation du risque lié à leurs activités, comme Ubifrance qui a requis les services de l’équipe d’Alexandra Cohen-Jonathan pour un audit complet de ses garanties, l’amélioration de la couverture monde de ses sociétés situées en France et la réduction de ses primes d’assurance. Le cabinet a même mis en place un vade-mecum de la maîtrise du risque pour l’ensemble de ses salariés. Maîtrisant parfaitement le marché des courtiers en assurance, en produits financiers et plus généralement de l’ensemble des professions réglementées, Hascoët & Associés est devenu un véritable intermédiaire pour ses clients.«?La croissance du cabinet a suivi l’effet boule de neige que prenaient les chaînes d’acteurs du monde du risque. Nous sommes plus occupés à fournir une prestation qu’à prospecter?», se réjouit François Hascoët.
L’amour des faits
L’équipe, c’est aussi celle que le cabinet a constituée avec ses clients. Afin d’en assurer la cohésion et de ne jamais porter préjudice aux personnes qui comptent sur lui, le cabinet a fait le choix de ne pas s’investir dans une activité de doctrine qui aurait pourtant pu lui apporter une rapide notoriété auprès des tribunaux et universitaires. «?Défendre une position dans les supports juridiques spécialisés fait prendre le risque indéniable à son auteur d’être décrié au cours d’une audience où l’intérêt de son client veut qu’il soutienne la thèse inverse de la sienne?», explique François Hascoët, qui, par expérience, en vient même à gérer le risque au sein de sa propre structure.
Le risque international
La solidité de ses expertises permet au cabinet de s’ouvrir encore sur de nouveaux métiers comme le droit du transport. Matière abordée il y a déjà longtemps – l’équipe était par exemple le conseil des assureurs du système TIR, qui garantit le paiement des amendes douanières –, elle devrait prendre de l’ampleur, notamment sous l’angle du transport terrestre en Afrique. Hascoët & Associés a déjà mis un pied sur le continent à travers les contrats de couverture pour des sociétés d’exploitation d’énergie. Plus généralement, les associés réfléchissent à la meilleure façon d’être présents aux côtés de clients s’internationalisant de plus en plus. La constitution d’un GIE avec des cabinets italiens et allemands est examinée tout en conservant l’indépendance de la structure : «?Être démarché par des grands cabinets a le mérite de confirmer la justesse de notre positionnement?», ironise François Hascoët, qui n’a jamais douté de sa stratégie, validée dans les faits par une croissance constante du chiffre d’affaires.
Pascale D'Amore
