La start-up de partage de contenus envisage déjà un troisième tour de table en 2015 aux États-Unis.
Mathieu Labey (Glowbl) : « On voulait plus que deux millions d’euros »
Conseils société : financier : Bryan Garnier & Co (David Serrero, Guillaume Plassard) ; juridique : CMS Bureau Francis Lefebvre (Pascale Deveraux)éron, le directeur financier de Glowbl, ce sont quatre nouveaux « business angels avisés », qui rejoignent pour cette deuxième levée de fonds la famille Soula, l’investisseur historique de la start-up fondée par Mathieu Labey.
À l’assaut des USA
Avec ces deux millions d’euros fraîchement levés, la start-up prépare son entrée sur le marché américain. Dès le mois d’octobre, Glowbl implantera sa première filiale à San Francisco avec pour ambition le lancement de la version professionnelle de ses LiveStages, ces lieux d’échange de contenus polyvalents en ligne. Le modèle Freemium que l’équipe de Mathieu Labey a choisi d’adopter propose une plate-forme gratuite pour « près de 95 % des utilisateurs », confirme Xavier Léron. Une version professionnelle adressée en priorité aux entreprises sera payante et enrichie de fonctionnalités comme la sécurisation des échanges.
Vers une IPO ?
La deuxième raison de l’implantation de Glowbl aux États-Unis se lit dans les projets de financement de la start-up : « Nous n’excluons pas un troisième tour de table pour faire entrer des fonds d’investissement américains dès 2015 », révèle Xavier Léron. Et à la question d’une future IPO, le directeur financier lance un « tout à fait envisageable » pour cette start-up qui revendique à ce jour plus de 60 000 utilisateurs.
Conseils société : financier : Bryan Garnier & Co ; juridique : CMS Bureau Francis Lefebvre
Juliette Boulay
À l’assaut des USA
Avec ces deux millions d’euros fraîchement levés, la start-up prépare son entrée sur le marché américain. Dès le mois d’octobre, Glowbl implantera sa première filiale à San Francisco avec pour ambition le lancement de la version professionnelle de ses LiveStages, ces lieux d’échange de contenus polyvalents en ligne. Le modèle Freemium que l’équipe de Mathieu Labey a choisi d’adopter propose une plate-forme gratuite pour « près de 95 % des utilisateurs », confirme Xavier Léron. Une version professionnelle adressée en priorité aux entreprises sera payante et enrichie de fonctionnalités comme la sécurisation des échanges.
Vers une IPO ?
La deuxième raison de l’implantation de Glowbl aux États-Unis se lit dans les projets de financement de la start-up : « Nous n’excluons pas un troisième tour de table pour faire entrer des fonds d’investissement américains dès 2015 », révèle Xavier Léron. Et à la question d’une future IPO, le directeur financier lance un « tout à fait envisageable » pour cette start-up qui revendique à ce jour plus de 60 000 utilisateurs.
Conseils société : financier : Bryan Garnier & Co ; juridique : CMS Bureau Francis Lefebvre
Juliette Boulay
