Celui qui inaugurera prochainement la Pinacothèque de Singapour compte parmi les trente Français sur lesquels nous avons choisi de parier avec optimisme et fierté en 2015…
Marc Restellini (Pinacothèque de Paris) : L’art de conquérir
Il voulait participer au rayonnement de l’art français. Pari réussi pour Marc Restellini qui a su en sept ans imposer sa Pinacothèque de Paris parmi les lieux d’expositions d’œuvres d’art les plus fréquentés de la capitale. Le succès commercial est indéniable : alors que la plupart des musées français sont déficitaires, le businessman de l’art affiche un bénéfice avec un chiffre d’affaires de plus de quinze millions d’euros. De quoi se payer le plaisir de dupliquer son modèle hors d’Europe, à Singapour. L’ouverture est prévue au premier trimestre 2015 et devrait remettre l’homme sous le feu des projecteurs et des critiques de ses détracteurs.
Pourquoi on parie sur lui : sa cote d’hyperpopularité en Asie laisse sûrement présager un très grand succès.
Sa réputation : plus que controversée. M. Restellini est autant estimé du grand public qu’il est décrié dans le sérail des conservateurs.
Son secret bien gardé : Restellini est un adepte de la philosophie bouddhiste. Régulièrement, il effectue des retraites dans des âshrams en Inde ou en Birmanie.
Pourquoi on parie sur lui : sa cote d’hyperpopularité en Asie laisse sûrement présager un très grand succès.
Sa réputation : plus que controversée. M. Restellini est autant estimé du grand public qu’il est décrié dans le sérail des conservateurs.
Son secret bien gardé : Restellini est un adepte de la philosophie bouddhiste. Régulièrement, il effectue des retraites dans des âshrams en Inde ou en Birmanie.