Dans un monde qui change, il est indispensable de coopérer. C’est ce que les nouveaux outils numériques permettent de mettre en œuvre avec des partenariats innovants et efficaces entre les différents acteurs du monde de la santé, ouvrant des perspectives sans précédent pour les médecins et les patients. Pour ne pas entraver le développement de ces projets, tout en prévenant les risques, les juristes doivent adopter une nouvelle approche, encore plus multidisciplinaire et pragmatique.
Avec une activité consacrée à 100 % aux études de marché dans le domaine de la santé, Axess Research a dû adapter son offre tout au long de la crise. Xavier Boutry, son fondateur, revient sur une période qui a contribué à stimuler leur transformation digitale.
En 2020, la cybersécurité est devenue un enjeu majeur pour les hôpitaux. Face à la multiplication des attaques qui menacent de paralyser leur fonctionnement, les SI des établissements de santé prennent la mesure du danger. Faute de moyens pour renforcer leur sécurité informatique, les pouvoirs publics accélèrent et semblent prêts à s’engager financièrement.
Le groupe pharmaceutique Servier s’est associé avec le développeur et opérateur américain de laboratoires de co-working, BioLabs Global, pour la gestion d’un incubateur de start-up qui sera intégré à son futur Institut de R&D. L’ouverture est prévue en 2023 sur le plateau de Paris-Saclay.
D’une ampleur unique, Future4care est un incubateur et un accélérateur de start-up européennes de la e-santé dont l’ambition est de développer rapidement de nouvelles solutions en matière de santé numérique et de les mettre à disposition sur le marché.
Si l’épidémie de Covid-19 a mis l’économie et la société à l’arrêt, les dépôts de brevets dans le domaine de la santé ont connu une nette augmentation. Biotech et start-up se sont mobilisées contre le virus à grand renfort d’innovations et d’inventions. Révolutionnaires pour certaines ou très originales pour d’autres. Voici cinq d’entre elles.
Ingénieur de formation, Cédric Cartau a exercé dans le privé avant d'entrer au CHU de Reims en 1999 comme ingénieur spécialiste système et sécurité. Nommé responsable de département de 2004 à 2009 au CHU de Rennes, il rejoint ensuite celui de Nantes en tant que Responsable Sécurité des Systèmes d’Information (RSSI) et DPO.