Fort de ses 23 ans d’expérience en tant que cancérologue-radiothérapeute, Alain Toledano est également directeur de la chaire "santé intégrative" au Cnam (Conservatoire national des arts et métiers) et fondateur de l’Institut Rafaël, la maison de l’après-cancer. Convaincu des bienfaits de la coordination de pratiques de santé dispensées en équipes multidisciplinaires, il nous partage son expertise en la matière.
Cherchant à devenir un acteur légitime sur le marché très concurrentiel de la santé, le géant du e-commerce multiplie les rachats, dont celui du réseau de soins privés américain, One Medical. Pourtant, alors que la firme ne revoit pas ses ambitions à la baisse, son service de télémédecine Amazon Care, lancé en 2019, disparaîtra d’ici la fin de l’année.
Les 14 et 15 septembre, acteurs publics et privés de l’écosystème tech seront les bienvenus au Sido Lyon 2022. Deux jours pour un état de l’art en matière d’innovation, et surtout, une mise en application sur mesure.
Avec les taux d’intérêts bas, les fonds misent de plus en plus gros dans les start-up. D’où une croissance des licornes. Mais attention au miroir aux alouettes.
Le développement de l’usage des traitements est un enjeu croissant de santé publique, dans nombre d’aires thérapeutiques. Dans les maladies rares, l’accès des patients à l’innovation est de plus en plus complexe. Pour les patients atteints de maladies chroniques et cardiovasculaires, le respect des prescriptions est critique pour éviter les complications. Dans la vaccination, la transition de programmes pédiatriques bien rodés vers la vaccination au cours de la vie soulève de nouveaux défis. CVA a investigué les facteurs clefs de succès dans les pays performants.
Entré en application le 26 mai 2021, le nouveau règlement européen relatif au contrôle renforcé des dispositifs médicaux (DM) sème le trouble auprès des fabricants. En cause, des délais d’obtention de marquage CE médical allongés dus au nombre restreint d’organismes certificateurs.
Portée par un investissement de 5,7 milliards d'euros financé en partie par l’État, avec, à la clé, la création de plus de 1000 postes, la méga-usine répondra à une demande grandissante en puces électroniques. Annoncé lors du sommet "Choose France", l’accord entre le franco-italien STMicroelectronics et l’américain GlobalFoundries constitue une avancée concrète vers l'autonomie stratégique.