La République Tchèque ne porte décidément pas bonheur à la firme internationale.
Norton plie bagage à Prague
Le cabinet est contraint, pour la seconde fois, de fermer son bureau praguois, arguant d’un marché local difficile. Huit ans après son lancement, Norton Rose Fullbright annonce renoncer à son antenne tchèque qui comptait dix-huit personnes dont deux associés. Comme prévu avant la fermeture, Milana Chamberlain (en photo), responsable du bureau, intègre le pôle business, éthique et anti-corruption du bureau londonien de Norton Rose alors que Pavel Kví?ala, spécialiste corporate et banking, et son équipe rejoignent le cabinet tchécoslovaque Holásek & Partners. Tim Marsden, managing partner adjoint de la firme pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie, explique cette décision par des conditions de marché difficiles à long terme. Il rappelle que les bureaux de Moscou et Varsovie assurent une présence pour la clientèle d’Europe de l’Est de la firme.