Si la reprise semble s’installer, l’impact de la double crise économique et sanitaire n’est pas résorbé pour autant tandis que l’avenir demeure incertain. Dans ce contexte anxiogène, les entreprises doivent se concentrer sur leur développement, user de leurs ressources avec parcimonie et disposer de visibilité en amenuisant les risques auxquels elles sont confrontées, notamment en gérant au mieux leurs conflits. Cela en minimisant les coûts souvent importants et en exploitant les opportunités que de tels conflits sont susceptibles d’offrir. Pour ce faire, il est essentiel d’en comprendre les causes et les logiques sous-jacentes afin de restaurer la confiance entre les partenaires, qu’il s’agisse de rééquilibrer leurs relations ou de les terminer convenablement. Ce que permet le recours aux modes amiables, et notamment la médiation, synonyme de sortie rapide, par le haut et à faible coût du conflit.
Coup de tonnerre en matière de conformité concurrence : l’Autorité de la concurrence (l’"Autorité") vient, le 11 octobre 2021, de publier un nouveau document-cadre concernant les programmes de conformité en droit de la concurrence (le "Document-Cadre Conformité")[1]. La position qu’y exprime cette autorité, reconnue comme étant l’une des plus sévères au monde [2], pourrait être résumée comme suit : il est, plus que jamais, impératif pour chaque entreprise active en France de disposer d’un véritable programme de conformité au droit de la concurrence.
La pratique du contentieux, particulièrement en présence de litiges complexes, implique désormais, non seulement une maîtrise étendue des procédures civile et pénale françaises, mais également une connaissance des procédures permettant de mettre en œuvre le droit de l’Union européenne.
À la tête de l’institution depuis 1993, Mauro Rubino-Sammartano
dresse un bilan de son mandat et livre les raisons qui font selon lui
l’attraction du Centre européen d’arbitrage et de médiation.
Directrice juridique d'Ubisoft, Cécile Russeil figure parmi les personnalités incontournables du droit à retrouver dans notre dossier "Contentieux & Arbitrage 2021-2022".
Directeur juridique de The Walt Disney Company, Philippe Coen figure parmi les personnalités incontournables du droit à retrouver dans notre dossier "Contentieux & Arbitrage 2021-2022".
Entre bitcoin et gestion passive, en passant par les banques centrales, le gérant phare de la diversification nous livre ses avis tranchés sortant des sentiers battus. Sa société de gestion porte bien son nom, TOBAM ou "Think Out of the Box Asset Management". Entretien avec Yves Choueifaty, son président fondateur.