C’est le montant accepté par le FC Barcelone pour céder le prodige brésilien Neymar Jr. au Paris Saint-Germain, qui s’engage pour cinq ans. Le club de la capitale fait un choix fort en s’offrant un des joueurs les plus talentueux et prometteurs du monde.
Tandis qu’une loi du début d’année l’oblige à contrôler la représentativité la diversité de la population française à la télévision et à la radio, le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a répondu en bon élève fin juillet en publiant un rapport à destination du Parlement assorti de préconisations aux acteurs du secteur.
À l’œuvre aux cotés de Gérard Lopez dans le cadre de la reprise du Losc auprès de Michel Seydoux, Barthélémy Courteault, associé au sein du cabinet d’avocats Bredin Prat, revient sur les spécificités de l’opération.
Nommé président-directeur général de Gameloft en juin 2016, Stéphane Roussel est aussi membre du directoire de Vivendi depuis 2014. La première action de l’homme d’affaires fut d’installer un climat de confiance avec ses employés face à la tension générée par le départ de l’ex P-DG, Michel Guillemot, et l’arrivée de Vivendi comme principal actionnaire. Son objectif est clair : mobiliser l’expertise et les moyens financiers de Vivendi pour développer et déployer efficacement les franchises de Gameloft.
Les financements publics souvent considérés trop compliqués à mettre en œuvre, les entreprises innovantes se tournent vers les financements privés pour assurer leur croissance. À tort ?
Les représentants de PME, start-up, banques et cabinets de conseil étaient rassemblés à Paris le 31 mai dernier, lors du G20 Croissance & Innovation, pour répondre à cette question.
Anciens CPI devenus avocats, Jean-Marie Algoud et Gilbert Piat sont spécialisés en droit des marques depuis les bancs de la fac. À la tête d’@Mark avec Christophe Degrave et Charles-Antoine Joly, les deux experts décryptent la nouvelle importance de cet actif immatériel aux yeux des investisseurs et des entrepreneurs de tous secteurs.
L’annonce de la fusion entre le Racing 92 et le Stade français avait fait l’effet d’une bombe. Il n’aura fallu que six jours pour que le projet soit reporté sine die. Un échec qui en rappelle d’autres dans le monde de l’ovalie où fusion rime souvent avec déception.