Christophe Chalençon, une des figures radicales des gilets jaunes a déclaré le 15 février que la France était au bord de la guerre civile. Des propos qui montrent que le mouvement est de plus en plus scindé entre une minorité vindicative et une majorité plus modérée. L’occasion de revenir sur les leaders du mouvement.
Le mouvement des Gilets jaunes marque une rupture dans l’histoire de la Ve République. Ne s’estimant plus représentés par les partis politiques et les syndicats, les manifestants agissent par eux-mêmes. Une situation potentiellement dangereuse.
Alors que l’extrême droite multiplie les avancées électorales, que sa coalition gouvernementale se fissure sous l’effet des polémiques à répétition et que sa politique d’accueil aux migrants continue à lui valoir les attaques répétées de l’opinion comme de la classe politique, Angela Merkel a fait savoir que ce mandat serait le dernier.
Gilets jaunes, mauvais sondages... La majorité tangue. Mais Emmanuel Macron peut compter sur Richard Ferrand. Le président de l'Assemblée nationale est expérimenté et fidèle.
La perspective d'une sortie de l'UE sans accord pour le Royaume-Uni semble aujourd'hui le scénario le plus crédible. Avec tout les risques que cela comprend.