Un peu de socialistes, un peu de centristes, une pincée de personnalités de droite et un zeste de profils issus de la société civile. Pour former son nouveau gouvernement, Emmanuel Macron a changé les têtes mais pas la méthode.
Le régulateur a-t-il un rôle d’accompagnateur ou de contrôleur ? En matière d’innovation, l’Autorité des marchés financiers (AMF) se positionne ouvertement du côté des acteurs du marché, la réglementation les aidant à crédibiliser leurs projets et à se développer. Robert Ophèle retrace les grandes lignes de l’action de l’institution en faveur de la fintech.
L’avalanche de règles qui s’est abattue sur les banques depuis la crise de 2008 avait pour but de sécuriser les échanges financiers et de protéger les investisseurs. Depuis l’apparition d’acteurs d’un nouveau genre rassemblés sous la dénomination de fintech, l’objectif des régulateurs reste inchangé. Pas la méthode.
Porteur d’une politique « verte » dans sa ville de Grenoble, Eric Piolle, maire EELV à l’initiative de projets locaux ambitieux en matière d’environnement, regrette de voir le gouvernement « larguer les amarres » sur la question de la transition écologique.
Pour le président de la CFTC, l’exécutif dialogue de manière particulière avec les syndicats. Une méthode qui permet des avancées. Même si beaucoup reste à faire.
Position à l’égard du gouvernement, de LR, des autres partis du centre, projet européen… Fabienne Keller, vice-présidente d’Agir Les Constructifs, dévoile les grands projets de son mouvement qui souhaite s’implanter durablement sur la scène politique française.
Régulièrement citée en exemple pour sa capacité à concilier libéralisme économique et État-providence, pour son sens du dialogue et son souci de l’équité, le modèle scandinave n’en finit pas d’inspirer les démocraties européennes. Dommage que son efficacité repose sur des spécificités culturelles difficiles à exporter.